D’après une récente étude américaine, femme pulpeuse ne rimerait plus exclusivement avec pin-up ; la chanceuse dotée de formes serait LA mère idéale, merci la science!
Photo KCS
Alléluia mes sœurs aux formes pleines et généreuses ! Que nos sacro-saints et néanmoins proéminents postérieurs soient bénis ! Car si les femmes ont de gros derrières, ce n’est pas seulement pour subir l’humiliation de la cabine d’essayage. Que de fois n’avons-nous pas maudit notre imposant fessier ? Quelle femme au généreux popotin n’a pas pesté en tentant d’enfiler un nouveau jean, langue tirée et prière chuchotée à l’adresse du très haut patron des denims – »Faites que je rentre dedans, c’est le douzième que j’essaie bon sang! »-, les yeux fixés sur les pieds de la vendeuse, postée devant sa porte et qui va finir par dire, la perfide : « Ça va la taille? Je vais chercher un 42, non?».
Ce n’est pas non plus pour les commentaires graveleux dans la rue sur nos fesses, ou les analyses subtiles sur nos origines : « Ah ma fille, quand on a des fesses d’Africaine ! » » .
Non, vous n’avez pas été punies par un Dieu qui aime la blague mais généreusement dotées au contraire. Car une très sérieuse étude de l’Université de Pittsburgh (États-Unis) révèle que la graisse de nos fesses permettrait à la femme d’engendrer un enfant plus intelligent, à travers l’allaitement. Selon David Bainbridge, biologiste de la reproduction à l’Université de Cambridge, les hommes verraient inconsciemment dans les femmes aux courbes généreuses la possibilité d’une descendance viable et intelligente.
C’est donc pour ça que Cameron Diaz est toujours célibataire et Kim Kardashian encore en couple ! Le monde avance!
