Par Laurence Peyrin
Alors celle-là, on l’avait pas vue venir. En matière de ruptures de couples people, on aurait plutôt parié sur les improbables Brangelina (on vous répète que c’est des avatars) ou le couple d’intellectuels californiens Kim Kardashian et Kanye West.
Mais d’après un sondage du site de rencontres extra-conjugales Victoria Milan, c’est (à raison) la séparation François Hollande-Valérie Trierweiler qui a été la plus inattendue de l’année 2014.
A noter que juste derrière arrive la rupture Joyce Jonathan-Thomas… Hollande (on ne saurait que conseiller aux autres membres de la famille de bien réfléchir avant de procéder à des ajustements sentimentaux).
La dynastie Hollande trustant tous les chocs émotionnels de la population (bon sang, mais c’est qui Joyce Jonathan?), il ne reste que quelques regrets pour Sophie Marceau – Christophe Lambert, les Guetta et leur orchestre, Mariah Carey et Casper son fantôme ou Britney et son caniche, pourtant tous passés par les affres du divorce en 2014.
Mais franchement, faut avouer qu’il y a encore deux ans, on aurait eu du mal à seulement imaginer la bonhommie Hollandaise à scooter dans une impasse, comptant fleurette à une actrice pendant que la première dame aguisait ses plumes à l’Elysée. A côté, Brooke et Ridge dans «Amour, Gloire et Beauté» c’est aussi emballant que «Présence Protestante» le dimanche matin.
Bref, le choc.
Et depuis que notre président a été surpris rue du Cirque (ça ne s’invente pas) en janvier, le séisme n’en finit pas de décliner ses répliques: littéraires, politiques, sociologiques – comme ce crétin d’un institut de sondage qui, pas plus tard qu’il y a quelques jours sur I-Télé, filait la métaphore sur Valérie Trierweiler/Bernadette Chirac, arguant finement que la première n’avait pas eu la «conscience de la hauteur de son rôle» de la deuxième. Autrement dit, si ton président de mari te cocufie, mieux vaut te coller la tête dans ton sac à main et compter les pièces jaunes. Pour la grandeur de la France, tout ça.
Bon, pour 2015, merci à Cupidon d’épargner notre dernier symbole: please, pas les Beckhaaaaam!!!
