Warning: "continue" targeting switch is equivalent to "break". Did you mean to use "continue 2"? in /home/httpd/vhosts/fossette-magazine.com/httpdocs/wp-content/plugins/mailpoet/vendor/cerdic/css-tidy/class.csstidy.php on line 886
{"id":7557,"date":"2022-03-10T10:45:03","date_gmt":"2022-03-10T10:45:03","guid":{"rendered":"http:\/\/fossette-magazine.com\/?p=7557"},"modified":"2022-03-15T06:52:37","modified_gmt":"2022-03-15T06:52:37","slug":"7557-2","status":"publish","type":"post","link":"http:\/\/fossette-magazine.com\/7557-2\/","title":{"rendered":"Nancy Holloway, l\u2019autre b\u00eate de sc\u00e8ne"},"content":{"rendered":"

Johnny, Sylvie, Dick, Elvis\u2026 Et Nancy\u00a0? Si les m\u00e9dias la c\u00e9l\u00e8brent peu (ou pas), les fans des ann\u00e9es y\u00e9y\u00e9 n\u2019ont pas oubli\u00e9 Nancy Holloway.<\/h3>\n

Jamais les fans des ann\u00e9es y\u00e9y\u00e9 n’oublieront Holloway… Lorsque Nancy Holloway d\u00e9barque \u00e0 Paris de son Ohio natal \u00e0 la fin des ann\u00e9es cinquante, elle a en t\u00eate le succ\u00e8s ph\u00e9nom\u00e9nal de son a\u00een\u00e9e, Jos\u00e9phine Baker. Aux \u00c9tats-Unis, les artistes noirs \u00e9chouant \u00e0 acc\u00e9der aux m\u00eames salles de concerts que les blancs ont compris depuis longtemps que l’exil pouvait \u00eatre une r\u00e9ponse \u00e0 la discrimination exerc\u00e9e \u00e0 leur encontre. Marylin Monroe, tomb\u00e9e en amour pour le jazz, doit promettre de venir s\u2019assoir tous les soirs au premier rang d\u2019un club new-yorkais, le Mocambo, dirig\u00e9 par Charles MOrrisson, pour qu\u2019Ella Fitzerald puisse venir s’y produire. Et jusqu\u2019aux \u00ab\u00a0Supr\u00eames\u00a0\u00bb, on fait croire au grand public que les nombreux girls bands de filles noires qui chantent \u00e0 la radio sont en r\u00e9alit\u00e9 blanches.<\/p>\n

\"\"<\/a><\/p>\n

Avant les ann\u00e9es 60, d\u00e9j\u00e0, la France de l’entre-deux-guerres a accueilli de nombreux jazzmen, en plus de Jos\u00e9phine Baker. Apr\u00e8s des d\u00e9buts dans les clubs de jazz de la capitale aux c\u00f4t\u00e9s de c\u00e9l\u00e9brit\u00e9s comme Kenny Clarke et Bud Powell, Nancy Holloway va trouver le chemin de la gloire par le biais de la d\u00e9ferlante y\u00e9y\u00e9.<\/p>\n

\"\"<\/a> \"\"<\/a> \"\"<\/a> \"\"<\/a><\/p>\n

L’ann\u00e9e 1963 sera pour elle une cons\u00e9cration, gr\u00e2ce \u00e0 cette adaptation sign\u00e9e Pierre Delano\u00eb d’un tube de sa compatriote, Dionne Warwick, intitul\u00e9 \u00ab\u00a0Don ‘t make me over\u00a0\u00bb. En l’espace de quelques semaines, \u00ab\u00a0T ‘en va pas comme \u00e7a\u00a0\u00bb lui ouvre les portes de l’Olympia o\u00f9 elle triomphe \u00e0 la t\u00eate d’un orchestre dont le guitariste est… Nino Ferrer.<\/p>\n

\"\"<\/a> \"\"<\/a><\/p>\n

Nancy Holloway<\/h3>\n

Puis c’est au tour du cin\u00e9ma de faire les yeux doux \u00e0 cette belle jeune femme qui cr\u00e8ve l’\u00e9cran aux c\u00f4t\u00e9s de Jean Marais dans \u00ab\u00a0Le Gentleman de Cocody\u00a0\u00bb de Christian-Jaque. Une carri\u00e8re en pleine ascension que vint briser net la disparition tragique de sa fille.<\/p>\n

Nancy Holloway qui faisait l\u2019unanimit\u00e9 aupr\u00e8s de ses musiciens revint sous les projecteurs en 1997 lors du proc\u00e8s de son amie, Anne Vanderlove, apr\u00e8s sa participation au hold-up d\u2019une agence du Cr\u00e9dit Agricole \u00e0 Laon. A la barre, Nancy Holloway t\u00e9moignera pour elle : \u00ab Ma copine Anne est une fille tr\u00e8s droite, g\u00e9n\u00e9reuse avec beaucoup de charisme. Elle est comme moi. C\u2019est l\u2019espoir qui nous fait vivre et surtout, on aime trop. \u00bb<\/p>\n

1 <\/strong>Nancy Holloway \u00a0\u00bb 1962 chez Le Disque Du Jour LD 36 \u00ab\u00a0<\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"

Johnny, Sylvie, Dick, Elvis\u2026 Et Nancy\u00a0? Si les m\u00e9dias la c\u00e9l\u00e8brent peu (ou pas), les fans des ann\u00e9es y\u00e9y\u00e9 n\u2019ont pas oubli\u00e9 Nancy Holloway. Jamais les fans des ann\u00e9es y\u00e9y\u00e9 n’oublieront Holloway… Lorsque Nancy Holloway d\u00e9barque \u00e0 Paris de son Ohio natal \u00e0 la fin des ann\u00e9es cinquante, elle a en t\u00eate le succ\u00e8s ph\u00e9nom\u00e9nal… <\/p>\n

<\/div>\n

Read More<\/a><\/p>\n","protected":false},"author":4,"featured_media":7558,"comment_status":"open","ping_status":"open","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":[],"categories":[41],"tags":[],"_links":{"self":[{"href":"http:\/\/fossette-magazine.com\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/7557"}],"collection":[{"href":"http:\/\/fossette-magazine.com\/wp-json\/wp\/v2\/posts"}],"about":[{"href":"http:\/\/fossette-magazine.com\/wp-json\/wp\/v2\/types\/post"}],"author":[{"embeddable":true,"href":"http:\/\/fossette-magazine.com\/wp-json\/wp\/v2\/users\/4"}],"replies":[{"embeddable":true,"href":"http:\/\/fossette-magazine.com\/wp-json\/wp\/v2\/comments?post=7557"}],"version-history":[{"count":0,"href":"http:\/\/fossette-magazine.com\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/7557\/revisions"}],"wp:featuredmedia":[{"embeddable":true,"href":"http:\/\/fossette-magazine.com\/wp-json\/wp\/v2\/media\/7558"}],"wp:attachment":[{"href":"http:\/\/fossette-magazine.com\/wp-json\/wp\/v2\/media?parent=7557"}],"wp:term":[{"taxonomy":"category","embeddable":true,"href":"http:\/\/fossette-magazine.com\/wp-json\/wp\/v2\/categories?post=7557"},{"taxonomy":"post_tag","embeddable":true,"href":"http:\/\/fossette-magazine.com\/wp-json\/wp\/v2\/tags?post=7557"}],"curies":[{"name":"wp","href":"https:\/\/api.w.org\/{rel}","templated":true}]}}