Si les stylistes cor\u00e9ens ont aujourd\u2019hui le vent en poupe, c\u2019est aussi parce que les politiques ont compris, l\u00e0-bas, l\u2019incroyable potentiel de la fili\u00e8re textile. Soutenue par le gouvernement, la Fashion Week -ou K-Fashion pour les aficionados de ce style qui a d\u00e9tr\u00f4n\u00e9 le look nippon- de S\u00e9oul d\u00e9ploie des moyens colossaux pour accro\u00eetre l\u2019audience de ses stylistes nationaux.<\/p>\n
<\/a><\/p>\n Pour Vincent Gr\u00e9goire, directeur de cr\u00e9ation de l\u2019agence de style NellyRodi, ce succ\u00e8s est surtout d\u00fb \u00e0 une \u00ab\u00a0fusion parfaite entre l\u2019Asie et l\u2019Occident, entre classicisme et modernit\u00e9 digitale. La bonne mesure avec, toujours, le petit twist de rigueur.<\/em>\u00a0\u00bb<\/p>\n Le m\u00e9tissage entre Asie et Occident, tradition et modernit\u00e9, ne date pas d’hier \u00e0 S\u00e9oul<\/p>\n <\/a><\/p>\n Mais aujourd’hui, plus que jamais, les cr\u00e9ateurs m\u00ealent coupes tradi et codes occidentaux avec maestria.<\/p>\n <\/a><\/p>\n Revisiter la mode cor\u00e9enne en la r\u00e9interpr\u00e9tant avec des codes hexagonaux, c\u2019est justement le pari de la marque Makioly<\/a>, lanc\u00e9e il y a tout juste un an. Un pied \u00e0 Paris, l\u2019autre \u00e0 S\u00e9oul, ses cr\u00e9atrices con\u00e7oivent et fabriquent leurs collections avec des designers cor\u00e9ens.<\/p>\n